Voici Thomas, le candidat gay de l’Amour est dans le Pré 2018

Publié par rédaction le 16 Jan 2018 dans People | 0 commentaire

Après Guillaume en 2014, Thomas est le second agriculteur homosexuel de l’émission L’Amour est dans le Pré dont la première partie a été diffusée hier soir sur M6. Ostréiculteur de métier, le jeune homme (30 ans) vit en Aquitaine et vit mal sa séparation avec son ex. Il déclare avoir du mal à trouver l’âme sœur pour une raison simple : « Je n’attire que les femmes ! ». Mais il faudra attendre la semaine prochaine pour découvrir son portrait.

Dans une interview accordée au Parisien, il explique qu’ « il doit être le seul gay de son secteur. » Le beau gosse veut rencontrer un homme aussi sentimental que professionnel. « Pour vivre et travailler avec moi. Pourquoi on ne pourrait pas rester collés tout le temps », poursuit-il.

Thomas a la tête sur les épaules : « Je dois préserver ceux qui n’ont rien demandé, dit-il. J’ai également prévenu mon ancien compagnon, et fermé sur mon compte Facebook ce qui permettait de faire le lien avec lui. Je n’ai pas envie de massacrer ma vie d’avant. »

Quand on l’interroge sur le rôle de gay de l’émission, il répond : « Je ne me sens pas représentatif d’une minorité », assurant sur sa lancée qu’il n’a aucune cause à défendre. « Je revendique l’amour, pas la sexualité. Le but c’est d’aimer », argumente-t-il. De beaux arguments pour attirer des candidats !

La biographie de Thomas – L’amour est dans le pré 13

(écrite par la production)

Thomas, 30 ans, est ostréiculteur en Nouvelle-Aquitaine.

Mesdames, passez votre chemin ! Ce beau célibataire est à la recherche… de l’homme de sa vie ! À 30 ans, ce jeune agriculteur qui vit en Nouvelle-Aquitaine, est le premier ostréiculteur (éleveur d’huîtres) de l’émission et le deuxième candidat homosexuel du programme.

Ce qu’il espère trouver en participant à la saison 13 de L’amour est dans le pré ? Un partenaire sérieux. « Ma demande pour trouver un homme travailleur, solide physiquement et prêt à partager avec moi un métier difficile, ça filtrera forcément » déclare au Parisien celui qui vit en colocation avec deux amies. Parions tout de même qu’il recevra une multitude courriers, même si lui n’en n’est pas convaincu.