Abercrombie & Fitch serait accusée d’embaucher des vendeurs sexys. C’est du moins ce que lui reproche le Défenseur des droits, Dominique Baudis. Ce dernier a décidé d’enquêter sur les pratiques de recrutement de la marque américaine qui parlent de mannequins et non de postes de vendeurs. Et il n’est pas rare que certains déambulent torse nu dans les allées de son magasin des Champs-Elysées ouvert en 2011. Dans sa décision d’auto-saisine, le Défenseur déclare que la société semble « fonder ses pratiques de recrutement sur des critères discriminatoires et notamment l’apparence...