Selon une étude parue dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, les chemsexs, ces substances chimiques qui permettent de réaliser des prouesses sexuelles, augmenteraient considérablement la probabilité de transmission du VIH ainsi que du virus de l’hépatite C. Cette étude est née d’une série de 306 entretiens dans un centre de dépistage et de prise en charge du Vih. Un tiers des personnes interrogées ont consommé des produits psychoactifs au cours du mois précédent. Mais seulement 16 % affirment l’avoir fait dans le cadre d’un rapport sexuel. Les probabilités qu’un adepte du chemsex soit homosexuel ou bisexuel...