La semaine dernière, une conférence était donnée à Chicago par le psychologue Michael Bailey sur l’état de ses recherches sur la biologie de l’homosexualité masculine relançant ainsi le débat sur le gène gay. Comme le titrait Le Nouvel Observateur qui relate cette conférence, le psychologue se posait la question : « doit-on craindre la thèse du caractère biologique de l’homosexualité ? ». Une étude particulièrement mise en avant par Michael Bailey estime qu’un marqueur génétique, le Xq28, serait plus présent chez les mâles homosexuels que dans le reste de la population. Pour beaucoup, ce genre...