Dans son dernier livre, le chercheur belge Jacques Balthazart qui dirige le Groupe de recherches en neuroendocrinologie du comportement à l’université de Liège estime que l’homosexualité a une composante biologique importante. Dans une interview accordée à BoOks, avoue la possibilité d’effets génétiques directs. « Il est clair, indiscutable, que l’homosexualité est en partie transmise. Les études sur les vrais jumeaux indiquent une forte héritabilité de la variance dans l’orientation sexuelle, de l’ordre de 30% à 60%. On sait aussi qu’un homme homosexuel a plus de chances de compter des hommes...