Un préservatif qui change de couleur au contact des MST

On n’arrête pas le progrès. Des collégiens britanniques viennent de mettre au point un préservatif capable de détecter les maladies sexuellement transmissibles. Selon la couleur qui apparaît, on peut mettre un nom sur la maladie. Vert pour la chlamydia, jaune pour l’herpès, violet pour le papillomavirus et bleu pour la syphilis. Alors s’agit-il d’une supercherie ou d’une véritable découverte ? Le procédé présenté à un concours de design (ça ne s’invente pas !) baptisé S.T.EYE (un jeu de mot avec STI, l’acronyme anglais de MST) paraît être efficace. En réalité, les élèves ont incorporé des...

Grindr accusé de faire augmenter les MST !

Des experts en santé sexuelle britanniques accusent des applications de rencontres comme Grindr d’être responsables de l’augmentation des maladies sexuellement transmissibles. La proximité des connectés à la recherche de relations sexuelles permettrait des rapports plus rapides et plus faciles. Les cas de chaude-pisses sont en hausse de 15%, la syphilis de 9% outre-Manche. Mais faut-il absolument faire un lien direct ? Pas sûr. « Merci à Grindr, vous pouvez attraper la Chlamydia en 5 minutes ! » a même lancé une association pour la santé sexuelle, « Vous pouvez trouver à un ou deux mètres une personne qui est...

Une super chaude-pisse australienne débarque !

C’est notre confrère AgendaQ qui le révèle dans son numéro d’octobre. Une souche très résistante de la bactérie à l’origine de la chaude-pisse sème la panique en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les antibiotiques généralement utilisés en cas de MST s’avèrent en effet inefficaces pour l’éliminer. Il s’agit de la gonorrhée nommée A8806. « Le seul remède reste le préservatif, même pour la fellation » conclut AgendaQ. Après enquête, nous avons appris que cette nouvelle souche de gonorrhée la plus résistante jamais rencontrée en Australie a été détectée sur un touriste européen qui a...

Le dépistage des MST menacé en Seine-Saint-Denis

Incroyable mais vrai. L’arrêt du versement d’une subvention annuelle de 1,4 millions d’euros fait courir «un problème de santé publique», alertent le département et l’association Médecins du Monde. La Seine-Saint-Denis n’aura bientôt plus les moyens de dépister efficacement la tuberculose et les maladies sexuellement transmissibles (MST). Dans l’un des départements les plus pauvres de France où se concentrent les populations précaires à risque, la suppression de financements «indispensables» met en danger le réseau de dépistage du département, a affimé mardi le président du conseil...